Le portrait de Cyril Gautier
Caroline, c’est la femme avec qui je partage ma vie depuis maintenant plusieurs années
Yeux bleus, cheveux châtain clair, je suis né le 26 Septembre 1987 à Pabu. J’ai grandi à Plouagat et depuis fin 2008 je réside à Trégueux
Rigoler. J’adore rigoler avec mes frères, Franck, Patrice et Mickaël on se paye de bons fous rires, tout comme avec mon grand père d’ailleurs ou encore mes deux meilleurs copains Yoann et Gabriel
Italie. J’y suis allé plusieurs fois avec l’équipe de France de cyclisme : à Vérone pour le championnat du monde juniors en 2004, à Vil Di Sol où j’ai été champion d’Europe espoirs en 2008 et la même année au championnat du monde espoirs à Varèse, où j’ai terminé 6ème. C’est un beau pays où on mange bien !
Laurent Jalabert. C’est de loin mon coureur préféré. J’ai tout le temps aimé sa façon de courir, d’être, de parler… Il a toujours su rester simple, c’est ce qui fait de lui un grand champion. Et c’est aussi un excellent commentateur, il s’est assuré une très belle reconversion, j’adore l’écouter.
Guingamp. C’était mon premier club. J’ai commencé à 10 ans chez les benjamins 1 et j’y suis resté 4 ans. Depuis la saison 2007 (ma première année chez les pros) je prends ma licence à Guingamp tous les ans. C’est souvent comme ça dans le milieu cycliste, quand un coureur passe professionnel, il reprend une licence dans le club où il a démarré.
Actif. Je suis plutôt speed. Il faut toujours que je fasse quelque chose, j’ai du mal à rester en place. Quand je n’ai rien à faire, je trouve toujours quelque chose pour m’occuper.
Urgences, après ma grosse chute sur Manche Atlantique en 2006, j’ai fini aux urgences : clavicule droite et nez cassés puis la seconde fois, c’était sur la 3ème étape du Tour Méditerranéen en 2008, j’ai chuté dans la descente de l’Espigoulier, clavicule gauche cassée! Comme on dit, ce sont les risques du métier.
Table. Je suis un bon mangeur. C’est incroyable ce que je mange ! Faut dire que je me dépense beaucoup aussi à côté, ça compense. J’aime aussi cuisiner de bons petits plats et desserts, je crois que ça m’aurait plu d’être cuisinier !
Inquiet. Je pense toujours à mon avenir. J’ai envie de réussir ma vie et de faire quelque chose de beau. Je veux réussir dans le cyclisme, mais je ne sais pas de quoi demain sera fait. Si demain le vélo s’arrêtait, il faudrait que je retrouve un autre travail pour continuer dans la vie.
Entraînement. Je m’entraîne de 15h à 30h par semaine mais cela varie en fonction des compétitions à venir.
Route Adélie à Vitré, ma première victoire chez les Pros !